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il y a 6 ans
Jessica rayonne. Paul est son dernier amant en date, c’est un entrepreneur sur la toile, qui marche bien. Il est grand, élégant et financièrement à l’aise. Jessica l’a rencontré il y a quelques mois et s’est intéressée à lui de plus en plus, lentement mais sûrement. Jessica se demandait comment il prendrait notre manière inhabituelle d’être mariés, mais il l’a prise avec brio.
Apparemment, il semble que la manière dont Jessica taquine et refuse, l’excite plutôt. Jessica annonce :
« C’est le moment de mon bain ! »
Avant que Jessica reçoive son amant, nous avons quelques rites pour préparer leur rencontre. J’aide Jessica à prendre son bain, je l’aide à s’habiller et, selon qu’elle me cocufiera dans notre chambre ou ailleurs, elle me prépare. Si elle me cocufie ici, dans notre maison, Jessica me fait en général revêtir quelque humiliante tenue.
Jessica entre dans son bain. C’est évidemment un bain moussant. Elle me tend l’éponge. Ma responsabilité consiste à la laver. Je mets du savon sur l’éponge et je commence. Jessica étend la jambe ainsi que son pied, et j’ai le plaisir de la
frotter depuis le bout de ses orteils tout le long de sa jambe. Jessica se détend lorsque je passe l’éponge sur toute la surface de son corps. Elle se retourne et relève son cul pour que je le nettoie.
Son cul a l’air si chaud lorsqu’il dépasse ainsi du niveau de l’eau. Je passe précautionneusement l’éponge tout le long de sa fente et le long de son beau cul plissé. Quelques minutes plus tard, j’ai terminé et Jessica sort du bain pour que je la sèche
avec une serviette. Elle s’étire avec volupté pendant que je la sèche, centimètre après centimètre.
Jessica se dirige vers le lit sur lequel elle s’allonge. Je lui fais toujours une pédicure avant qu’elle rencontre un amant. Je récupère sa couleur préférée, un rouge foncé de chez Chanel, et attrape une poignée de boules de coton. Après avoir placé a
vec précaution les boules de coton entre chaque orteil, je commence à vernir ses ongles de pied. Après que j’ai soufflé sur ses ongles pour assurer qu’ils sont bien secs, Jessica m’ordonne de venir me placer près d’elle sur le lit.
« Ici, place ta cage près de ma chatte pendant que nous avons une petite conversation. »
Je m’installe et place doucement ma queue emprisonnée contre sa magnifique chatte.
« Ce doit être dur pour toi de savoir que dans un petit moment, une autre bite d’homme va se trouver dans la chatte de ta femme. Je veux dire, normalement, la chatte d’une épouse est un lieu sacré dans lequel seul son mari est autorisé à pénétrer. C’est l’endroit où le mari et la femme sont le plus intimes. Mais pas pour toi. Pour toi, la chatte de ta femme est un endroit où tu n’es pas admis, jamais. Pour toi, la chatte de ta femme est un endroit de rejet et d’humiliation. Au lieu d’être l’endroit de la plus grande intimité, c’est le lieu de ta plus grande frustration et de ta plus grande
humiliation. Et pour toi, le fait de savoir qu’un autre homme va emplir ton épouse doit être vraiment très bizarre ! »
Jessica commence à m’embrasser tendrement le visage, puis à le lécher.
« Ce doit être si humiliant pour toi de ne pas pouvoir satisfaire ton épouse et qu’elle doive faire appel à d’autres hommes pour être assouvie. Le faitque non seulement ta femme te refuse le droit de la satisfaire mais savoir que tu ne peux pas la
satisfaire. Que ta queue est tellement comme celle d’un petit garçon que ta femme ne te laissera même pas essayer de la satisfaire. »
Jessica me lèche la figure de manière plus agressive, avec de grands coups de langue sur mes lèvres et mes joues.
« Je veux dire, voilà où tu en es, mon mari, tu laisses ta femme te refuser toute relation sexuelle avec elle pendant cinq ans, puis tu laisses ta femme te denier même le droit de jouir pendant plus de cinq ans, ensuite, tu laisses ta femme te dire que tu dois garder ta queue enfermée dans une cage pendant cinq ans. Tu laisses ta femme te traiter si mal, tu laisses ta femme d’aguicher, te refuser et t’humilier de cette manière. Tu n’as jamais tenté la moindre contradiction ! Et maintenant,tu aides ta femme à te cocufier en lui vernissant les ongles de pied, en la baignant et en l’habillant pour qu’elle soit le plus sexy possible pour ton rival ! Quelle sorte d’homme es-tu ? »
Jessica continue de me lécher et de m’embrasser tandis que je suis comme hypnotisé par ses paroles.
« Comment peux-tu me laisser te traiter ainsi ? Pas de sexe, pas de jouissance, ta femme qui te cocufie constamment et ta queue en cage tous les jours depuis cinq ans ! Je pense que tu mérites d’être traité de cette manière. Tout homme qui laisse sa femme lui faite tout ça sans aucune résistance ne mérite aucun respect. Je veux que tu saches que je n’ai aucun respect pour toi, aucun. »
Jessica me regarde intensément dans les yeux en prononçant ces paroles :
« Je n’ai aucun respect pour toi. En fait, Je n’ai que du mépris pour toi, mon mari si veule. »
Jessica m’embrasse tendrement à présent.
« Pour un homme, tu es une excuse pathétique, faible, sans colonne vertébrale, avec une toute petite queue. Au fur et à mesure que je t’ai vu supporter ma conduite de plus en plus salope à ton égard, mon respect pour toi a diminué. Maintenant, je ne te considère plus que comme une excuse pathétique pour un homme. Est-ce qu’un véritable homme aiderait son épouse à s’apprêter pour avoir une relation sexuelle avec un autre homme? Est-ce qu’un véritable homme laisserait sa femme lui imposer qu’il n’aura jamais la permission de jouir ? Est-ce qu’un véritable homme accepterait que sa femme décrète qu’il n’aura jamais plus le droit de la baiser ? Je ne crois pas que ce sont là des manières d’homme. Certainement pas le genre d’homme susceptible de m’exciter.
Non, tu ressembles plus à un petit chien lécheur. Ça a du sens, d’ailleurs, puisque laper est la seule expérience sexuelle que je t’autorise encore. Tu ne m’excites pas, tu me dégoûtes. Et, ce qui est triste pour toi, c’est que plus tu me dégoûtes, plus j’ai envie de te punir, de t’abaisser et de te faire mal. Pour toi, c’est une spirale descendante. Maintenant, bouge-toi vers ma chatte. »
Je m’approche du sexe de Jessica.
« Je te permets de m’embrasser légèrement la chatte. Je veux que mon jus de chatte coule lorsque je vais rencontrer Paul, dans quelques instants. »
Je me mets à lécher doucement la délicieuse chatte de Jessica.
« C’est ça, prépare la chatte de ta femme pour la bite d’un autre homme. Rends la chatte de ta femme toute humide pour qu’un autre homme la baise. Embrasse l’objet de ta frustration, de ton humiliation, de ta castration ! »
J’embrasse et je lèche avec plus de passion la chatte de Jessica qui est de plus en plus humide. Plus elle m’abaisse, plus je veux l’embrasser passionnément.
« Vénère l’essence de ma féminité. Le cœur même de ma féminité. Vénère l’autel de ta dégradation et de ton abaissement. Sache que dans quelques instants, la bite d’un autre homme sera là où se trouve maintenant ta langue. Qu’un autre homme va emplir et satisfaire ta femme. Que ton épouse doit aller avec un autre homme pour se sentir vraiment femme. Que tu aides ton épouse à avoir l’air si sexy pour qu’elle puisse s’accomplir avec un autre homme ! »
Je continue d’embrasser le sexe de Jessica pendant une dizaine de minutes. Ensuite, elle se lève et revient avec un engin. C’est une autre cage de chasteté. Une cage de chasteté beaucoup plus cruelle. On l’appelle KTB, c’est un moyen particulièrement cruel qui consiste en une rangée circulaire de dents métalliques placées sur la queue de celui qui la porte. Tant que le pénis est flasque, il n’y a pas de problème. Mais dès que survient l’érection, les dents entrent en jeu et commencent à appuyer sur la queue. Plus l’érection
est forte, plus douloureuse est la sensation.
1 KTB = Kali’s Teeth Bracelet ; en français : les Dents de Kali.
« Il est temps de te préparer pour ce soir ! »
Jessica glousse en déverrouillant ma cage habituelle qu’elle remplace immédiatement par le KTB. Puis elle verrouille la serrure qui le fait tenir en place.
« Comme tu dois être puni parce que ton zob est trop petit pour pouvoir faire quoi que ce soit et que ta femme doit aller chercher un autre homme pour la satisfaire, j’utiliserai ce KTB à chaque fois que je vais avec un autre homme. »
Jessica se penche et fait un gros baiser à l’extrémité de mon pénis. Cela me fait instantanément bander, et non moins instantanément, l’horrible douleur causée par le KTB commence à m’envahir.
Jessica se met à glousser :
« Oh, le pauvre bébé ! Dans quel pétrin tu te trouves ! Plus tu es excité, plus tu te crées de la souffrance. Plus tu ressens du plaisir, plus tu ressens de douleur ! Mon petit mari ne fait jamais la pause, n’est-ce pas ?”
“Jessica me redonne un autre baiser au bout de ma queue, puis elle contemple mon visage tordu par la douleur. Elle se remet à glousser et annonce
:
« C’est l’heure de s’habiller !’
Jessica se dirige vers son placard et en sort ce qu’elle va porter. Elle commence à s’habiller. Elle enfile une robe de cocktail noire extrêmement courte. Elle met ses sandales noires à hauts talons les plus sexys. Elle met une écharpe. Elle se parfume légèrement puis se passe une épaisse couche de rouge à lèvres. Elle est absolument époustouflante et extrêmement sexy.
« Je vais retrouver Paul pour le dîner, puis nous irons chez lui. Ensuite, à mon retour, tu pourras me nettoyer avec ta langue. »
Jessica me pousse à genoux et chevauche mon visage.
« Je veux que tu me renifles une dernière fois et que tu t’assures que tout sent bon. »
Elle chevauche mon visage et passe sa robe sur ma figure. J’appuie mon nez contre son sexe. Il a une merveilleuse odeur sucrée. Je le lui dis. Jessica se dirige vers la porte, y pose les mains et pousse son cul en arrière vers moi.
« Bien. Maintenant, renifle mon trou du cul et assure-toi qu’il est propre et qu’il sent bon pour Paul. »
Je pousse mon nez entre ses fesses et hume. Son trou du cul sent une combinaison de sucré et d’acidulé. Il sent une odeur absolument délicieuse qui me pétrifie. J’aimerais pouvoir l’embrasser, mais je n’ose pas le faire sans la permission de Jessica.
« Alors, il sent bon ou pas ? Je n’ai pas besoin d’un rapport de dix pages sur ton désir de vénérer mon trou du cul, j’ai juste besoin de savoir s’il sent bon pour Paul !
-
Il sent merveilleusement bon, Jessica.
-
Bien. »
Jessica se retourne et me fait relever. Elle est sur le point de partir, mais lorsqu’elle me voit porter la cage KTB, elle ne peut résister à me causer une douleur supplémentaire avant de s’en aller. Elle se penche un petit peu et m’embrasse le bout du pénis une fois encore. Puis elle tend la langue et la fait légèrement passer à la racine de mon sexe. Cela cause un afflux soudain et massif de s a n g dans mon pénis qui se met à se dresser. Et une douleur aiguë me saisit lorsque les dents de métal du KTB entrent en contact avec ma queue bandante. Je grimace de douleur et Jessica se met à rire une fois de plus :
« Oh, pauvre bébé ! A chaque fois que je veux te faire plaisir, ça se termine en te faisant mal. Qu’est-ce que je dois faire pour mon pauvre mari ? Bon, essaie de rester tranquille, au moins jusqu’à ce que j’ai quitté la maison. Passe une bonne soirée ! »
Quatre heures plus tard, Jessica rentre à la maison. Elle se débarrasse rapidement de tous ses habits et monte sur le lit. Elle me dit de m’approcher d’elle et de me placer au-dessus d’elle. Elle arbore un sourire béat. Ses jambes sont écartées tandis que je manœuvre avec précaution ma queue encagée par le KTB contre sa cuisse.
« Je veux juste que tu saches que c’était la meilleure partie de jambes en l’air que j’aie jamais connue. La queue de Paul est si dure, si grosse, si virile. El la façon dont il baise est vraiment, vraiment magistrale. Il a toute sa puissance virile. Je me sens tellement femme quand il est en moi. »
Jessica ferme les yeux et semble partir dans une rêverie. Elle a cette expression rêveuse sur le visage, comme si elle sentait encore la bite de Paul en elle. Après quelques minutes, elle se redresse et commence à m’embrasser le visage.
« Oh, à présent, où en étais-je ? Ah oui, la grosse bite de Paul. Qu’est-ce qui se passe, tu as l’air tout triste. Es-tu triste parce qu’un autre homme a satisfait ton épouse d’une manière qui ne t’est pas permise ? Est-ce que ça t’ennuie ? »
Jessica commence à me lécher la figure.
« Tu devrais être reconnaissant qu’il y a quelqu’un pour satisfaire ton épouse. Tu es si pathétique que tu ne peux pas espérer que je puisse être assouvie par ta queue malingre, même si je te laissais l’utiliser. Non, ta queue, telle qu’elle est, n’a de valeur que celle d’un petit jouet pour me distraire et m’amuser à l’occasion. »
Jessica me fixe droit dans les yeux.
« Je ne parviens pas à déterminer ce que j’apprécie le plus, avoir l’énorme queue de Paul qui me besogne profondément à l’intérieur, ou savoir que tu as mal quand tu regardes ta femme se faire baiser. Je crois que c’est cela que je préfère. Je crois que j’apprécie plus de savoir combien cela te brûle à l’intérieur. J’adore ces moments où tu souffres à l’évidence que ta femme se délecte de te faire cocu. Oui je crois que te faire cocu est encore plus délicieux qu’être baisée par Paul. »
Jessica continue de m’embrasser tendrement le visage.
« Tu peux commencer à lécher le sperme de Paul dans ma chatte. »
Je descends le long du corps de Jessica et place mon visage près de son magnifique sexe. Je commence à embrasser délicatement la chatte de Jessica qui vient d’être ravie. Elle sent à la fois le salé et le sucré. Je commence à l’embrasser gentiment et doucement, je lèche le clitoris de Jessica.
« Hmm, c’est très agréable ! »
J’ouvre ses lèvres avec mes doigts et introduit ma langue dans son sexe récemment baisé. Jessica écarte encore plus ses jambes pour s’ouvrir mieux. Au bout de quelque temps, elle me tire vers son visage. Je suis confus parce que je n’ai fait que commencer à la nettoyer. Jessica se met à me parler avec sa voix de petite fille qu’elle utilise parfois quand elle veut être particulièrement comprise.
« Pauvre petit mari, sa superbe épouse baise un autre homme et tout ce qu’il peut faire consiste à lécher sa jolie chatte qui est pleine du sperme de son rival. »
Jessica place son index droit dans sa chatte et en ressort un doigt couvert de la jouissance de Paul. Elle le regarde longuement.
« Est-ce que mon petit mari a faim ? »
Je réponds simplement “Non” et je secoue la tête.
« Je pense que mon petit mari a faim. Ici, j’ai gardé pour toi une bonne sauce à la crème. Lèche-la sur mon doigt. »
Jessica place son doigt sur mes lèvres puis dans mabouche. Je lèche son doigt
consciencieusement jusqu’à ce qu’il soit propre. Les perme de Paul a un goût salé.
« Mmm, mmm, bon ! Est-ce que mon petit mari se sentmal parce que sa femme lui préfère un
autre homme ? »
J’opine.
« Est-ce que mon petit mari se sent siiiiii frustréparce que sa femme va se faire baiser par un autrehomme et qu’elle a de siiiiiiiii nombreux orgasmes tandis qu’il n’a pas la permission de baiser sa propre femme et n’a pas joui depuis plus de cinq ans ? Est-ce que cela rend mon petit mari triste et frustré ? »
J’opine encore.
« Pauvre petit mari. »
Jessica extirpe un autre doigt couvert du sperme dePaul.
« Est-ce que mon petit mari est jaloux du nouvel amant de sa femme ? Est-ce que mon petit mari trouve désagréable que sa femme préfère avoir le pénis d’un autre homme dans la chatte, plutôt que le sien ? Est-ce que mon petit mari se sent mal à l’idée qu’il ne baisera plus jamais sa femme ? »
J’opine toujours.
« Pauvre petit mari. »
Jessica insère son doigt couvert de sperme dans ma bouche te commence à glousser.
« Mmmm, succulent ! Mon petit mari aime le goût de l’amant de sa femme, n’est-ce pas?”
Je secoue la tête en signe de dénégation. « Pauvre petit mari. Pauvre petit mari, triste, solitaire, frustré et cocu. C’est une bonne chose que je t’aie gardé un peu de sperme, sinon, tu n’aurais rien eu à voir ce soir ! Tu vois, j’ai toujours en tête tes véritables intérêts. »
De nouveau, Jessica extirpe un doigt couvert du sperme de Paul.
« Le pauvre petit mari n’a que deux choses à manger. Le sperme de l’amant de sa femme et le
mignon trou du cul de sa femme. Ce sont des choses que la plupart des maris n’ont jamais. Mais toi, c’est ton lot permanent. Quelle sorte de mari es-tu ?
-
Je ne sais pas.
-
Oh, tu peux faire mieux que ça ! Dis-moi quel genre de petit mari tu es. Je veux l’entendre !
-
Je ne sais pas ce que tu veux que je dise.
-
Quel genre de mari supporte d’être avec une épouse qui ne le laisse jamais baiser ni jouir ? Quel genre de mari laisse sa femme l’utiliser pour nettoyer son trou du cul et sa chatte lorsqu’elle est pleine du sperme d’un autre homme ? Quel genre de mari cela peut-il être ?
-
Un petit mari pathétique ?
-
C’est mieux. Un petit mari pathétique ! Tu as gagné un prix en trouvant la bonne réponse. »
Jessica pousse son doigt recouvert de sperme dans ma bouche.
« Tu vois, lorsque tu t’humilies et que tu t’abaisses pour le plaisir de ta femme, tu gagnes toujours un prix ! N’est-ce pas beau ? Quel petit mari chanceux ! »
Jessica sort de nouveau un doigt plein de foutre desa chatte et le tient devant moi à la manière
d’un dresseur qui tient une récompense devant un chien.
« Dis-moi quelle sorte de mari laisse toujours sa femme le commander ? Quelle sorte de mari fait toujours ce que sa garce d’épouse veut qu’il fasse,quelque horrible, vicieux et cruel que ce soit ? Quelle sorte de mari n’a que l’autorisation de manger le cul de sa salope de femme quand elle le dégrade et le salit ? De quel genre de mari s’agit-il ? Dis-le-moi, je veux l’entendre !
- Un mari pathétique, faible, une mauviette. Un mari émasculé et cocu. Une sorte de mari
totalement dominé par sa garce de femme ?
- C’est ça ! Tu as droit à ta récompense ! »
Jessica introduit son doigt dans ma bouche et je lelui nettoie en le léchant.
« C’est fini ! Il n’y a plus de foutre pour toi. Comme c’est dommage! Regardons les couilles du petit mari! Je veux voir à quel point elles sont devenues bleues ! »
Je me mets debout à côté du lit pour que Jessica puisse inspecter mes couilles. Elle s’en approche à quelques centimètres.
« Regarde comme elles sont bleues ! Elles sont si mignonnes! La plupart des couilles d’hommes ne sont pas bleues, n’est-ce pas ? »
Je hoche la tête en signe de dénégation.
« Les couilles de Paul ne sont pas bleues du tout. Elles ont l’air plus heureuses que les tiennes. Les couilles de mon petit mari ont l’air siiiiii frustrées et siiiiiii solitaires ! J’imagine qu’elles sont solitaires parce qu’elles n’ont jamais rien à faire. Elles sont au chômage ! Tu comprends ? Au chômage ! »
Jessica rit de sa blague.
« C’est si drôle, tu ne trouves pas ? J’imagine quece n’est pas aussi drôle pour toi que pour moi. Oh bon, j’imagine que ne pas jouir pendant plus de cinq ans a pu affecter ton sens de l’humour. Si je ne peux pas me moquer de toi, il n’y a pas de raison que je sois mariée avec toi. »
Jessica remarque la cage KTB.
« J’oubliais que tu avais toujours cet engin vicieux.
- Peux-tu l’enlever, s’il te plaît. Je pense que j’en ai eu assez pour cette nuit, réponds-je. »
Jessica reprend sa voix naturelle :
« Oh non, tu n’en as pas encore eu assez ! Je te dirai quand tu en auras eu assez. Amusons-nous un peu ! »
Jessica me tire sur elle.
« Caresse-moi avec ce truc. Je crois que ça va êtremarrant ! »
Je commence à me frotter contre la chatte de Jessica. Du moins, aussi près que je le peux compte tenu de ce que je porte ce cruel engin. Dès que je commence à me frotter contre la chatte de Jessica, ma queue commence à bander et dès que celase produit, la douleur apparait. Jessica regarde avec attention mon visage, guettant les signes de douleur. Dès que je me mets à grimacer, elle se met à glousser. De sa voix la plus salope,
Jessica dit :
« J’essaie juste de te faire plaisir. Tu vois, à chaque fois que j’essaie de te faire plaisir, tu n’ai
mes pas ça. Je ne sais même pas pourquoi j’essaie encore ! »
Jessica roule sur le côté du lit.
« Désolé, chérie. Ça fait tellement mal quand je deviens dur et que j’ai cet engin. »
Jessica se retourne un peu et, toujours de sa voix de salope, ajoute :
« Quoiqu’il en soit, je me fous de ce que tu penses. Je suis fatiguée et je veux dormir. Ce cocufiage m’a épuisée. »
Lorsque Jessica me parle avec cette voix de garce, cela a un effet curieux sur moi. J’ai alors
toujours envie de lui vénérer le cul. « Jessica, est-ce que je peux t’embrasser le cul pendant un petit moment ?
- Tu es vraiment pathétique, tu sais ! Là, j’ai baisé un autre homme toute la nuit. Je te fais porter cet horrible engin qui te mord la bite à chaque fois que tu bandes. Ensuite, je te fais manger le foutre de Paul. Puis je t’oblige à t’humilier devant moi. Et maintenant, tu veux m’embrasser le cul ? Tu me dégoûtes, le sais-tu ? Pour m’avoir demandé ça, tu vas garder ton engin toute la nuit, et non, je ne t’autorise pas à m’embrasser le cul ! »
Jessica se retourne de manière à me tourner le dos.
« Mais tu peux embrasser mes fesses quelques instants si tu veux. »
Avec impatience, je me place de telle façon que meslèvres sont au niveau du cul de Jessica.
J’embrasse chaque fesse tendrement et avec révérence. Je suis hypnotisé par la proximité de son beau cul plissé. Même si c’est la seule chose que j’aie le droit de faire, je la fais avec la passion d’un homme désespéré. Au bout d’environ trois minutes, Jessica me donne une claque du revers de la main.
« Ça suffit, Jésus ! Tu es tellement une excuse pathétique, pour un homme ! Je ne sais pas
pourquoi je m’embête avec toi, honnêtement. »
Je me place dans le lit, à côté de Jessica. Elle metourne toujours le dos. L’espace d’un instant, elle me regarde et dit :
« C’est drôle. Je viens de réaliser que Paul a passé plus de temps en moi que toi. Je veux dire, tu sais, ce bref moment où je t’ai permis de me baiseravant notre mariage. Il a maintenant passé beaucoup plus de temps avec sa queue en moi que tu ne l’as jamais fait et ne le fera jamais. Est-ce que ce n’est pas drôle ? Je trouve ça très marrant ! »
Je ne réponds pas.
« Oh, bon, je te fais des blagues. Ce sera toujours ainsi. Allez, fais de beaux rêves, ma pauvre
mauviette pathétique de mari ! »
Jessica se retourne de nouveau et s’endort
SM98
Jessica est une épouse adorable, son "mari" en a t il conscience ? |
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